Après le chantier vient la décrépitude.
Après le chantier vient la ruine, la rouille, le pauvre outil vit dans la solitude
Dans la jungle ou le maquis, dans les friches, les terrains vagues, les vestiges du labeur restent, vaillants...Ils restent debout jusqu'à la rouille totale, jusqu'à l'écaillement intégral des peintures...
Jusqu'à ce que le lierre reprenne ses droits, le vaillant manche de manœuvre se dresse, turgescent jusqu'outre-tombe.
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